Atelier d’écriture à partir de personnages anonymes pour scénographies théâtralisées.
- Un lot de 600 portraits de personnes anonymes, tous publiés dans la presse magazine
- Un protocole d’invention de scénarios de rencontres : les participants par groupes de deux, imaginent des scénarios de rencontres entre les personnages qu’ils ont choisis.
- Exemple d’une histoire imaginée lors d’un atelier :
Les portraits de ces personnes inconnues mais qui nous ressemblent permettent toutes les projections. Les récits, inventés très vite, spontanés, trsè détaillés, sont ensuite décodés (analyses sémiotique, sémiologie de l’image, sémantique, analyse narrative, schémas actantiels…) pour en déduire les éléments structurants de la problématique abordées (traduite dans la consigne).
Dans l’exemple ci-dessus, il s’agissait de décoder le concept des nouvelles figures de femmes libérées. Les histoires collectées ont fait apparaître, comme celle-ci, un profil de femme détendue qui fait face à l’autorité masculine sans s’y opposer ni s’y soumettre, tout en retournant la situation par le sourire et une sorte d’impertinence qui « désarme ».
La compilation croisée de toutes les histoires recueillies a permis d’affiner ce profil de femme et d’en délimiter les caractéristiques principales.
Le client avait l’intuition d’une nouveau type de relation femmes-hommes et souhaitait se positionner comme acteur dans cette transformation sociale. Un rôle sociétal à prendre pour donner la parole à ce nouveau profil de femme s’est révélé par cette étude. Il a pu concevoir la création de média dédiés avec lancement de communautés et cautionnement de figures phares.
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