De nombreux exemples récents montrent de petits groupes fermés, à la tête d’organisations, qui font preuve de mépris, d’ignorance voire de manquements éthiques, à l’égard des réseaux étendus qu’ils contrôlent (leurs clients, les citoyens, leurs employés…). De récentes études mettent en rapport la capacité des personne à s’impliquer dans un nombre de lien affectif limité, avec l’étendue des connections dans les réseaux organisationnels. Il semble qu’une taille trop grande des réseaux soit directement productrice d’effets pervers comme l’incapacité à faire preuve d’humanité envers ses connections lointaines – alors qu’à l’inverse un réseaux trop limité et fermés empêche de s’ouvrir aux autres et aux idées nouvelles.
Un article de recherche récent fait le point : cliquer ici.